LIVRE VII
MATHÉMATIQUES, PHYSIQUE, TRANSURANIENS, MOMIFICATION,
PRÉ MÉDECINE, BIOLOGIE, ARCHÉOLOGIE, ASTRONOMIE
- PARIS 1943 -
Dans
ce
volume
il
approfondit
l’étude
des
mathématiques,
en
passant
par
l’algèbre
et
l’analyse.
Il
étudie
les
émissions
particulières
des
figures
géométriques
telles
que
la
parabole,
l’hyperbole,
la
spirale
et
l’ellipse,
en
passant
par
les
logarithmes.
Toujours
du
point
de
vue
de
la
physique,
il
examine
les
rapports
existant
entre
désintégration
et
électromagnétisme
entre
formes
géométriques
et
surfaces.
C’est
précisément
dans
cette
partie
de
sa
doctrine
théorique
sur
les
rapports
entre
électromagnétisme,
désintégration,
gravité
et
l’influence de tous ces types de radiations sur l’organisme, qu’il atteint une formulation mûre et définitive.
Très
intéressantes
et
surprenantes
même,
sont
ses
études
sur
le
vide.
Il
met
en
évidence
certaines
de
ses
caractéristiques.
Le vide est une radiation polarisable, générée naturellement par les éléments les plus lourds:
- le 124 (Vide Négatif)
- le 421 (Vide Positif)
- le 545 (Vide Total)
dont Turenne a découvert l’existence et la structure électronique.
La
découverte
de
nouveaux
éléments
sur
la
base
de
leurs
émissions
ondulatoires
n’est
pas
chose
nouvelle
pour
Turenne:
il
existe
des
documents
sur
la
vibration
du
corps
93
qu’il
avait
découverte
bien
avant
qu’Enrico
Fermi
n’en
isole
l’élément
chimique.
Le
Livre
VII
se
poursuit
par
des
études
d’astronomie,
et
fournit
une
liste
vérifiable
(datant
de
1942)
des
éléments
composant
les
roches
lunaires
(les
plus
significatifs
sont
au
nombre
de
sept)
et
les
éléments
présents
dans
les
radiations
solaires
(qui
en
comprennent
92).
Il
étudie
aussi
l’archéologie
en
se
basant
sur
le
système
ondulatoire,
et
bien
sûr,
elle
ne
pouvait
pas
manquer,
une
étude
sur
la
pyramide
de
Chéops
et
sur
le
Sphinx.
Plus
intéressante
encore,
son
étude
sur
quatre
stèles:
les
240,
241,
242
et
243
conservées
au
musée
Borely
à
Marseille,
qui
faisaient
partie
de
la
tombe
d’un
scribe
royal
où
elles
étaient
disposées
respectivement
au
nord,
au
sud,
à
l’ouest
et
à
l’est.
Cette
étude
permet
à
Turenne
de
vérifier
que
les
formes
particulières
des
hiéroglyphes
orientées
comme
indiqué
ci-
dessus,
rendent
ces
stèles
faiblement
radioactives.
Il
ouvre
ainsi
la
voie
à
la
possibilité
d’une
relation
entre
le
culte
égyptien
des
morts,
et
des
conformations
ondulatoires
particulières
générées
par
des
formes
architecturales,
des
séquences
graphico-symboliques
ou
des
chromatismes
particuliers favorisant en quelque manière le détachement de la partie la plus énergétique (âme ou psyché) du corps plus matériel.