Louis
Turenne
naît
à
Paris
le
21
mars
1872
,
d'une
famille
d'industriels
et
commerçants
en
matériel
de
pompage
et
d'installation
d'eau
(pompes,
turbines,
moteurs
électriques,
etc).
Il
fait
ses
études
à
Paris,
et
sort avec son diplôme d'ingénieur de l'École Centrale des Arts et des Manufactures à l'âge de 19 ans.
Au
cours
de
la
guerre
de
1914-1918,
il
est
Chef
de
Bataillon
d'artillerie,
et
est
blessé
à
Verdun.
Cela
lui
vaut la Croix de guerre et la Légion d'Honneur.
En
1917,
il
est
nommé
Professeur
de
T.S.F.
(Transmission
Sans
Fils)
à
l'École
d'Artillerie
de
Fontainebleau, sous les ordres du Général Ferrié.
Ce
sont
ses
rapports
avec
ce
savant
qui
développeront
en
lui
le
goût
de
la
recherche
scientifique,
en
particulier dans le domaine des ondes, auxquelles peu à peu il se consacre entièrement.
Les
activités
de
sa
famille
l'ayant
mis
en
contact
avec
des
sourciers,
Louis
Turenne
s'intéresse
très
tôt
aux
ondes
subtiles,
travaillant
dans
toutes
les
directions
possibles,
avec
une
passion
particulière
pour
la
géologie
et
la
recherche
minière.
C'est
lui
qui,
au
Maroc,
repère
les
gisements
de
phosphates
et
la
source d'eau minérale Sidi Harazem, analogue à Perrier.
Il
installe
ses
Laboratoires
à
Paris
Rue
de
Chazelles
et
suit
de
très
près
la
recherche
scientifique
officielle.
Il
effectue
des
expériences
de
contrôles
d'ondes
particuliers,
qu'il
mentionne
dans
les
livres
qu'il
écrira sous le titre: "De la baguette de Coudrier aux détecteurs du Prospecteur".
Louis
Turenne
est
le
premier
à
annoncer
l'existence
d'un
93ème
corps
dans
le
tableau
de
Mendeleïev,
et
à
en
indiquer
les
caractéristiques.
Quelques
années
plus
tard,
le
physicien
italien
Enrico
Fermi
l'isolera,
mais
ce
n'est
qu'en 1940 qu'il rendra hommage à Turenne. Il l'appellera le Neptunium.
Réfugié
à
Eymoutiers,
en
Haute
Vienne,
de
1943
à
1947
pour
échapper
à
une
demande
de
collaboration
de
l'Allemagne,
Turenne
en
profite
pour
rechercher
des
gisements
de
Radium
dans
la
région
du
Limousin,
mais
il
ne
sera
pas
suivi
par
la
Recherche
officielle.
Après
la
guerre,
tous
les forages confirmeront ses plans.
En
1947,
Louis
Turenne
s'installe
à
Nice,
et
poursuit
ses
travaux
avec
ses
nombreux
correspondants
:
le
Docteur
NEBEL
de
Lausanne,
le
Dr.
ROUY
et
le
Dr.
MACHETOUT
à
Paris,
l'Abbé
LAMBERT,
l'Abbé
MERMET.
Ils
vérifient
les
travaux
de
LORENZ, toutes les souches des Laboratoires Boiron, etc…
En
1952,
Louis
Turenne
est
poursuivi
par
le
Conseil
de
l'Ordre
des
Médecins
de
Nice,
mais
le
procès
jugé
en
octobre-novembre
'52,
se
résoudra
par
le
"franc
symbolique"
de
dommages
et
intérêts.
Madame
Turenne
et
le
Colonel
De
Blois
sont
ses
précieux
collaborateurs,
ils
forment
de
nombreux
élèves.
Monsieur
Turenne
meurt
à
Nice
le
30
Juin
1954,
à
l'âge
de
82
ans,
mais
son
œuvre
se
poursuivra
dans
l'esprit
qu'il
avait
adopté.
Ses
livres
IX°
e
X°
seront
publiés
après
sa
mort
par
"Omnium
Littéraire" à Paris.
Préface au Livre IX° (L.Turenne)
J'ai
voulu
atteindre
mes
80
ans
et
les
résultats
de
mes
nombreux
contrôles,
pour
publier
ces
travaux.
Je
voudrais,
à
la
fin
de
ma
vie,
avoir
créé
l'instrument
scientifique
qui
puisse
réunir
en
une
seule
science
(la
Science
des
Ondes)
toute
les
Méthodes,
anciennes
et
nouvelles,
qui
ont
pour
but
de
soulager
l'humanité
et
de
faire
paraître
moins
pénible
le
passage
sur la Terre aux malheureux déficients de Santé, si nombreux dans tous les pays.
Je
remercie
les
Médecins,
les
Pharmaciens
et
mes
nombreux
Elèves
qui
ont
bien
voulu
m'aider
de
leur
compétence,
de
leurs
conseils, de leurs encouragements dans la poursuite de cette œuvre scientifique de dévouement à nos semblables.
Puisse
mon
travail
être
compris
comme
une
œuvre
créatrice
de
rapprochement
de
toutes
les
méthodes
tendant
au
mieux
des
"
humains ". (Louis Turenne 1952)
"Éloge funèbre de Louis Turenne, prononcé par Paul Reboux"
…Après
la
mort
d'Auguste
Lumière,
nous
pouvions
croire
que
le
cruel
destin
qui
venait
de
frapper
la
Science
française
s'était
rassasié.
La
mort
soudaine
de
Louis
Turenne
est
un
nouveau
coup
du
sort.
Tous
ceux
qui
connaissent
l'importance
de
l'œuvre
qu'il
laisse,
tous
ceux
qui
ont
connu
cette
puissance
de
travail
et
de
pensée
qu'il avait conservée jusqu'au dernier jour, ont été bouleversés par cette nouvelle tragique.
Quand
disparaît
une
aussi
belle
intelligence,
on
sent
que
le
monde
perd
une
de
ses
richesses.
Quand
meurt
un
homme
si
bon,
si
compatissant
à
toutes
les
souffrances,
si
acharné
à
trouver
les
moyens
d'améliorer
l'existence
humaine,
de
faire
reculer
la
douleur, de faire patienter la mort, on a le sentiment qu'une ombre s'est répandue sur nous.
Une
des
lumières
de
l'esprit
vient
de
s'éteindre
brusquement.
Et
l'on
va
commencer
à
comprendre
que
Louis
Turenne
fut,
en
ce
qui
concerne
"les
ondes
humaines",
l'équivalent
de
ce
que
furent
Claude
Bernard
en
physiologie
et
Louis
Pasteur
en
bactériologie.
Il
a
guidé
les
tâtonnements
d'une
science
qui
ressuscite.
Il
a
ramené
vers
l'expérience,
la
raison,
la
discipline,
une
pratique que les esprits de bonne volonté mais d'imagination trop riche, confondaient avec des pratiques de magie.
L'étendue
de
son
œuvre
apparaîtra
mieux
quand
la
"science
de
captation
des
ondes",
qui
a
fait
des
progrès
géants
depuis
quelques
années,
sera,
comme
l'homéopathie
et
la
chiropratique,
devenue
une
science
officielle,
pour
le
plus
grand
bien
des
médecins dont elle sera devenue l'indispensable auxiliaire, et des malades qui lui devront la guérison.
Dès
le
début
de
sa
carrière,
Louis
Turenne
avait
été
un
savant
écouté
avec
ferveur
par
les
jeunes
élèves
officiers
auxquels
il
enseignait
la
T.S.F.
dans
une
grande
école
officielle.
Sa
clairvoyance,
son
discernement,
son
souci
de
ne
jamais
s'écarter
de
ce
qui
se
mesure
et
se
prouve,
lui
ont
permis
de
composer
des
traités,
nourris
de
précision
mathématique,
sur
la
Science
des
Ondes, le Radium, la Loi des Semblables, la Radioactivité, les eaux lourdes, et tant d'autres sujets….
Il
a
créé
des
instruments
de
précision
pour
tous
ceux
qui
s'aventuraient
dans
l'incohérence
des
sciences
nouvelles.
Il
a
rendu
possible de passionnantes initiations.
Il
a
soulevé
le
voile
des
Lois
Mystérieuses.
Il
les
a
révélées
et
fixées.
Il
a
pénétré
dans
une
zone
inexplorée
de
découvertes.
Les
prodiges
qu'il
a
révélés
lui
ont
valu
une
renommée
contre
laquelle
se
sont
dressés,
selon
l'usage,
les
envieux,
les
jaloux,
les
attardés.
On
l'a
attaqué,
persécuté.
On
l'a
fait
comparaître,
lui,
le
savant
vénéré,
devant
un
Tribunal
correctionnel!
On
l'a
d'abord
condamné
puis
relaxé,
par
des
attendus
hypocrites
qui
donnaient
de
menus
gages
à
ses
adversaires
tout
en
proclamant
la
dignité
et l'intégrité de l'accusé.
B
a
h
!
Ce
sont
les
signes
où
se
reconnaît
la
gloire.
Plus
on
est
élevé,
plus
on
court
de
dangers.
Louis
Turenne,
il
y
a
un
demi-siècle,
fut
un
des
premiers
'sourciers
scientifiques'.
Maintenant,
quarante
mille
disciples
le
considèrent
comme
un
des
plus
éminents
doctrinaires
de
l'art
qu'ils
pratiquaient
empiriquement.
Il
a
donné
aux
ondes
"leur
science",
comme
Branly
a
précisé
les
principes
de
la
Transmission
sans
fils,
comme les frères Lumière ont mis au point le cinéma
C'est à ces grands noms qu'il faut comparer celui de Louis Turenne.
Il
vivra
dans
l'Histoire
de
la
Science
française.
Il
vivra
dans
le
cœur
de
tous
ceux
qui
ont
pu
connaître
quel Ami il était. "
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QUI ÉTAIT TURENNE "Un aperçu de sa Vie ……."
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